L'Empire du Verre : histoire des Verreries Richarme, de la Vallée du Gier à la scène nationale (1828-1964)

L'histoire des Verreries Richarme constitue une étude de cas emblématique du capitalisme familial français au XIXe siècle, illustrant comment une entreprise régionale, née d'un écosystème industriel spécifique, a pu atteindre une envergure nationale par une stratégie d'expansion, d'innovation technologique et d'alliances familiales complexes. Le parcours de cette dynastie, de sa fondation en 1826 à sa démolition en 1964, offre un microcosme de la révolution industrielle en France, de son ascension ambitieuse à son déclin inéluctable face aux mutations économiques du XXe siècle. Cet article se propose de retracer cette épopée industrielle, en synthétisant des sources archivistiques, généalogiques et historiques pour offrir un récit complet et nuancé de l'un des fleurons de l'industrie verrière française.

Les origines d'une dynastie du verre (fin XVIIIe – 1846)

La famille Richarme et le berceau industriel de Rive-de-Gier

L'émergence des Verreries Richarme est indissociable de son contexte géographique et familial. La famille Richarme était profondément enracinée dans la région de Rive-de-Gier bien avant de se lancer dans l'industrie du verre, ses membres exerçant divers métiers traditionnels tels que meunier ou forgeron.1 Cet ancrage local leur conférait une connaissance intime du territoire et un réseau social préexistant, atouts fondamentaux pour toute entreprise naissante.

Le succès futur de l'entreprise fut conditionné par les avantages uniques qu'offrait la vallée du Gier. Cette région était un pôle industriel naissant, un écosystème riche en ressources essentielles. La présence de mines de charbon abondantes assurait un approvisionnement en combustible bon marché, un facteur de coût critique pour les fours verriers à haute consommation énergétique.3 Le Gier et ses affluents, comme l'Egarande, fournissaient non seulement l'eau nécessaire aux processus industriels mais aussi une force motrice.4 Enfin, le canal de Givors, achevé en 1780, offrait une voie de transport stratégique pour acheminer les matières premières, comme le sable, et pour expédier les produits finis vers les grands marchés, notamment Lyon et la vallée du Rhône.5 L'entreprise Richarme n'est donc pas née ex nihilo ; elle est le produit d'une exploitation stratégique de cet environnement industriel exceptionnel.

La transition de l'artisanat vers l'industrie est incarnée par Michel Richarme (né en 1783). Initialement meunier comme son père, il est identifié dès 1828 comme propriétaire d'une verrerie, marquant le pivot de la famille vers une nouvelle ère économique.1

La Fondation (1828) et la Société des Frères

C'est donc vers 1828 que la première verrerie Richarme est officiellement établie dans le quartier d'Égarande à Rive-de-Gier, un lieu-dit qui deviendra synonyme de l'entreprise.1 L'entité fondatrice prend la forme d'une société en nom collectif, "Richarme frères", une structure juridique typique du capitalisme familial de l'époque. Elle est constituée par Michel Richarme, l'initiateur, et ses deux frères cadets, Pierre (1793-1864) et Benoît (1802-1850).1 Ce modèle de partenariat familial permettait de mutualiser les capitaux, de répartir les risques et de combiner les compétences, constituant une base solide pour passer de l'échelle artisanale à la production industrielle.

Le choix de se spécialiser dans la fabrication de bouteilles témoigne d'une analyse de marché avisée.1 Dans une France où la viticulture était une industrie majeure, la demande pour les contenants en verre était massive et en croissance constante. La proximité de la vallée du Rhône, l'une des plus grandes régions viticoles du pays, offrait un débouché naturel et considérable. Cette spécialisation permit aux frères Richarme de développer des économies d'échelle et d'optimiser leurs processus de production, les rendant rapidement très compétitifs. Le succès de cette stratégie est attesté par le fait qu'en 1833, Rive-de-Gier comptait déjà quinze verreries à bouteilles, produisant des millions d'unités par an, et que vers 1867, la région abritait vingt-deux fours dédiés à cette seule production.2 Les Richarme n'étaient pas seulement des participants à ce mouvement, ils en étaient les pionniers et les meneurs.

L'expansion et l'apogée d'un empire industriel (1847-1890)

La conquête de la Vallée du Rhône : la Verrerie de Bourg-lès-Valence

L'expansion des Verreries Richarme au-delà de leur berceau du Gier illustre une stratégie de croissance fondée sur des alliances familiales et une vision commerciale nationale. L'acquisition de l'usine de Bourg-lès-Valence en est l'exemple le plus marquant.

L'histoire de ce site industriel commence le 21 septembre 1847, lorsqu'une autorisation préfectorale est accordée à la "Sté BILLION du Rousset" pour l'établissement d'une verrerie. La famille Billion du Rousset, et notamment Pierre Billion du Rousset, était une figure influente de la vie industrielle et politique de la Drôme.9 En 1853, l'établissement est cadastré sous le nom de "Cie Verrière du Bourg Lès Valence" sur des parcelles situées en bordure du Rhône, le long de l'actuelle rue Dériard. Elle appartenait depuis 1851 à Louis Eugène Morfin, originaire de Saint-Félicien en Ardèche, marié à Valence en 1843 et veuf en 1852, et dont on sait assez peu de choses.

C'est ici qu'intervient une figure clé : Louis-Barthélémy-Claude Dériard (1825-1891). Pharmacien lyonnais et négociant, il prend la direction de la verrerie de Bourg-lès-Valence à la fin des années 1850.12 L'usine, installée sur le quai Thannaron (qui devient plus tard Quai de la Verrerie), connaît sous sa direction une croissance rapide. En 1873, elle emploie près de 200 ouvriers et affiche une production journalière impressionnante de 8 000 bouteilles et 1 500 feuilles de verre plat.12

Le lien qui scelle le destin de cette usine avec l'empire Richarme est d'ordre matrimonial. Louis Dériard avait épousé Adeline Catherine Richarme, fille de Michel Richarme, l'un des trois frères fondateurs de la verrerie de Rive-de-Gier.1 De plus, sa sœur, Catherine Richarme, avait épousé le frère de Louis, Barthélémy Dériard.1 Cette double alliance familiale crée un pont direct entre les Dériard, gestionnaires de l'usine de Valence, et les Richarme, puissants verriers de la Loire. La chronologie est éloquente : après des années de gestion par Dériard, l'usine est officiellement rebaptisée "RICHARME Frères" en 1872, coïncidant avec l'installation d'une machine à vapeur, signe d'une modernisation et d'un investissement significatifs. L'expansion des Richarme ne s'est donc pas faite par une acquisition hostile, mais par une intégration progressive et stratégique, facilitée par les réseaux de parenté, une pratique courante du capitalisme du XIXe siècle.

L'usine de Bourg-lès-Valence représentait également une diversification stratégique. Contrairement au site d'Égarande spécialisé dans la bouteillerie, celui de Valence produisait aussi du verre plat.12 Cette double production permettait aux Richarme de pénétrer le marché lucratif de la construction tout en renforçant leur position dans celui des contenants. La localisation sur le Rhône était idéale pour desservir les marchés du sud de la France et pour envisager l'exportation via le port de Marseille, complétant ainsi la couverture géographique de l'usine de Rive-de-Gier.

Un réseau national : les usines d'Assailly et les dépôts commerciaux

L'ambition des Richarme ne se limitait pas à la vallée du Rhône. Ils ont méthodiquement bâti un réseau intégré de production et de distribution à l'échelle nationale, un modèle d'entreprise remarquablement moderne pour l'époque.

Outre les sites d'Égarande et de Bourg-lès-Valence, l'entreprise exploitait une autre usine à Assailly, dans la commune de Lorette (Loire).1 Ce site, situé au cœur du bassin industriel du Gier, bénéficiait de la proximité des mines de charbon et des forges, renforçant la capacité de production du groupe dans son fief historique.

Plus révélateur encore de leur stratégie est le développement d'un réseau de dépôts commerciaux dans les principales villes françaises. Des documents d'archives, notamment des en-têtes de factures et des annuaires commerciaux, attestent de l'existence de magasins et d'entrepôts à Paris, Nantes, Toulouse et Marseille.1 Le choix de ces villes n'était pas anodin : Paris était le centre névralgique du commerce national ; Nantes et Marseille étaient des ports majeurs ouverts sur le commerce atlantique et méditerranéen ; Toulouse était un carrefour commercial essentiel pour le Sud-Ouest. Ce réseau permettait aux Verreries Richarme de maîtriser leur chaîne de distribution, de réduire leur dépendance aux intermédiaires, de répondre plus agilement à la demande régionale et d'asseoir leur marque sur l'ensemble du territoire.

Cette envergure nationale était une source de fierté et un argument commercial. Dès 1863, les en-têtes de la société arborent fièrement la raison sociale "VERRERIES DE LA LOIRE & DE LA DRÔME", signifiant clairement que l'entreprise n'était plus une simple affaire locale mais une corporation interrégionale puissante.20

L'ère de Pétrus Richarme : tensions et transformations (1870-1914)

Portrait d'un patriarche industriel : Pétrus Richarme (1833-1892)

La figure de Pierre, dit Pétrus Richarme, domine la seconde moitié du XIXe siècle et incarne l'apogée de la puissance de l'entreprise. Né en 1833, il fut bien plus qu'un simple héritier ; il fut un industriel visionnaire, un homme politique influent et un patriarche autoritaire, dont la personnalité complexe et souvent contradictoire a profondément marqué l'histoire des verreries.22

En tant que directeur des verreries, Pétrus fut un modernisateur. En 1877, il fit reconstruire l'usine d'Égarande et y installa des fours à gaz alimentés au coke, une technologie de pointe qui permettait une production en continu, augmentant considérablement le rendement et la rentabilité.1 Son sens des affaires était redoutable, comme en témoigne son conflit avec la société Badoit. Pour contrer la tentative de Badoit de construire sa propre verrerie avec l'aide des frères Laurent, Richarme n'hésita pas à acheter une source d'eau concurrente à Saint-Galmier pour faire pression, une manœuvre qui aboutit à un accord de partage de marché très favorable à son entreprise.1

Parallèlement à sa carrière industrielle, Pétrus Richarme s'engagea activement en politique. Maire de Rive-de-Gier de 1870 à 1874, puis conseiller général, il fut élu député de la Loire en 1876, siégeant dans les rangs de la Gauche républicaine.23 Il fut l'un des 363 députés qui, lors de la crise du 16 mai 1877, s'opposèrent au gouvernement monarchiste du duc de Broglie, un acte politique fort qui affirmait son attachement aux institutions républicaines.22

Cependant, cette image de républicain modernisateur contraste fortement avec son attitude en matière sociale et familiale. Son style de gestion autocratique et son refus de reconnaître les syndicats ouvriers furent à l'origine de conflits sociaux d'une rare intensité. Dans sa vie privée, il fit preuve du même autoritarisme, entrant en conflit ouvert avec sa famille au sujet de sa relation avec la comédienne Marie Colombier, à qui il légua une part importante de sa fortune, au grand dam de ses sœurs et beaux-frères.1 Pétrus Richarme incarne ainsi la dualité de nombreux grands patrons de la Troisième République : progressiste en politique, mais conservateur et intransigeant dans la défense de son autorité patronale et patriarcale.

Le feu social et les restructurations

L'ère de Pétrus Richarme fut aussi une période de tensions sociales extrêmes, qui ont forcé l'entreprise à se transformer en profondeur. La fin du XIXe siècle est marquée par la montée en puissance du mouvement ouvrier, et les verreries, avec leur main-d'œuvre nombreuse et qualifiée, devinrent un foyer de syndicalisme combatif.

Le point culminant de ces tensions fut la grande grève qui éclata à l'usine Richarme de Rive-de-Gier en 1894. Le conflit, qui dura entre neuf et seize mois selon les sources, fut d'une violence inouïe.2 La revendication centrale des ouvriers, menés par le syndicaliste Pierre Vinay, était la reconnaissance de leur syndicat par la direction, ce que Pétrus Richarme et surtout son neveu et successeur en 1892, Auguste Dériard, refusaient catégoriquement.25 La grève fut marquée par des expulsions des logements ouvriers appartenant à l'usine et par l'arrestation et la condamnation des leaders syndicaux.25 Malgré une forte solidarité nationale et l'intervention de figures socialistes comme Jean Jaurès, les grévistes, épuisés, durent s'avouer vaincus en janvier 1895.

Cet échec eut une conséquence directe et durable : la création d'une verrerie concurrente, la "Verrerie aux Verriers". Fondée grâce au soutien de la Fédération nationale des verriers, cette coopérative ouvrière représentait une alternative au modèle patronal autoritaire des Richarme et symbolisait la détermination du mouvement ouvrier à s'organiser de manière autonome.2

Parallèlement à ces troubles sociaux, l'entreprise connut des restructurations juridiques majeures. Le 1er janvier 1891, la société en nom collectif "Richarme frères" fut dissoute. Pétrus Richarme, agissant en tant que liquidateur, fonda immédiatement une nouvelle entité, "P. Richarme et Cie".1 Cette première étape fut suivie, après la mort de Pétrus en 1892, par une transformation plus profonde. En 1893, l'entreprise devint la "Société Anonyme des Verreries Richarme", avec un capital social considérable de 2 448 000 francs.27

Cette évolution d'une société de personnes vers une société de capitaux n'était pas fortuite. Elle répondait à une double nécessité. D'une part, elle permettait de gérer la succession de Pétrus Richarme, dont l'héritier était son neveu, Auguste Dériard.1 La structure anonyme formalisait la nouvelle direction et ouvrait le capital à des investisseurs extérieurs à la famille. D'autre part, elle limitait la responsabilité financière des actionnaires, une précaution devenue indispensable dans un contexte de conflits sociaux longs et coûteux comme la grève de 1894. Cette transformation marquait le passage d'un capitalisme personnel et patriarcal à une forme plus moderne et managériale de l'entreprise.

Le long déclin et la fin d'une épopée (1914-1964)

Le XXe Siècle : concurrence, absorption et perte de vitesse

Le XXe siècle marqua le début d'un long déclin pour les Verreries Richarme. Après le décès de Pétrus, son neveu Auguste Dériard, fils de sa sœur Catherine et de Barthélémy Dériard, prit les rênes de l'entreprise.1 Cependant, la dynamique avait changé. L'entreprise familiale, bien que transformée en société anonyme, peinait à faire face aux nouvelles réalités économiques.

Un tournant décisif eut lieu en 1916, lorsque la société Souchon-Neuvesel et Cie de Givors, un concurrent majeur qui deviendra plus tard BSN puis le groupe Danone, acquit une participation majoritaire dans le capital des Verreries Richarme.1 Cet événement marqua la fin de l'indépendance de l'entreprise. Désormais intégrée à un groupe plus vaste, elle perdit son autonomie stratégique et devint une simple unité de production au sein d'un ensemble plus large.

Le déclin de l'entreprise fut accéléré par l'érosion des avantages compétitifs qui avaient fait sa force au siècle précédent. L'épuisement progressif des mines de charbon de la vallée du Gier priva l'usine de sa source d'énergie bon marché, son principal atout.1 Parallèlement, la concurrence s'intensifiait avec l'émergence de grands groupes industriels plus modernes et mieux capitalisés. La mécanisation croissante de la production verrière, notamment pour la bouteillerie, rendit obsolètes de nombreux savoir-faire traditionnels et diminua la valeur de l'« aristocratie ouvrière » qui avait longtemps été une force dans l'industrie.29

En décembre 1929, l'absorption des Verreries Richarme au sein de Souchon-Neuvesel est actée, le groupe devenant "Souchon-Neuvesel, Richarme et Évian Réunis". Le destin des Verreries Richarme est donc emblématique de la désindustrialisation qui a frappé de nombreux secteurs traditionnels en France après la Seconde Guerre mondiale.30 L'écosystème qui avait permis son essor au XIXe siècle – charbon local, savoir-faire artisanal, capitalisme familial – s'était désintégré. Incapable de s'adapter à un monde dominé par de nouvelles sources d'énergie, de nouvelles technologies et de nouvelles formes d'organisation capitaliste, l'entreprise était condamnée.

La fermeture (1958) et la disparition (1964)

L'agonie des Verreries Richarme s'acheva dans la seconde moitié du XXe siècle. En 1958, toute activité cessa définitivement sur le site historique d'Égarande à Rive-de-Gier.1 Cette fermeture marqua la mort économique d'une entreprise qui avait façonné la ville pendant 130 ans.

Six ans plus tard, en 1964, les bâtiments de l'usine furent entièrement démolis.1 Cette destruction physique effaça du paysage de Rive-de-Gier le principal témoin matériel de cette épopée industrielle. Le site, qui fut pendant plus d'un siècle un lieu de production, d'innovation, de vie sociale et de conflits, fut rendu à la friche avant d'être réaménagé pour de nouvelles activités.

De cet empire industriel, il ne reste aujourd'hui que des traces immatérielles et toponymiques. Le nom de Richarme perdure à travers la "rue Pétrus Richarme", une voie de Rive-de-Gier où se trouvent désormais des enseignes de la grande distribution, comme un supermarché Lidl.33 Cette persistance du nom du grand patron, alors que l'usine et ses milliers d'ouvriers ont disparu, constitue une ironie historique poignante. Elle reflète le destin de nombreuses régions désindustrialisées, où la mémoire de l'industrie est conservée comme un patrimoine, bien après que sa substance économique et sociale se soit évanouie.

Conclusion

L'histoire des Verreries Richarme est une saga d'un siècle, riche en enseignements sur l'industrialisation française. Née dans le terreau fertile de la vallée du Gier, l'entreprise a su capitaliser sur les ressources locales et un esprit d'entreprise familial pour se hisser au rang de puissance industrielle nationale. Son succès reposait sur une combinaison d'adoption technologique, de pratiques commerciales agressives et d'alliances stratégiques, incarnées par la figure dominante de Pétrus Richarme. Cependant, ce dernier a également semé les germes de conflits sociaux qui ont durablement marqué l'entreprise. Finalement, les Verreries Richarme n'ont pu survivre aux profondes mutations économiques et technologiques du XXe siècle. Leur absorption, leur long déclin et leur fermeture finale symbolisent la fin d'une ère pour Rive-de-Gier et pour le modèle du capitalisme familial qui avait prévalu au siècle précédent. Son histoire demeure un témoignage puissant de l'ascension et de la chute d'une dynastie industrielle, dont l'héritage, bien que physiquement effacé, reste inscrit dans la mémoire et la toponymie de la région.

Sources des citations

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