Noms et raisons sociales au fil du temps
- Verrerie de RouellesNom d'UsagePériode : 1798-1842
Après le rachat du site industriel fin 1794, Caroillon de Vandeul parvient à relancer l'usine en opérant un virage pragmatique. En effet, il abandonne le marché prestigieux mais risqué des glaces et verres de luxe pour réorienter la production vers des produits utilitaires, plus en phase avec l'économie post-révolutionnaire : les bouteilles et le verre à vitres. Son décès en 1813 marque le début du long déclin de l'entreprise.
Histoire
Au cœur du XVIIIe siècle, dans un vallon isolé du plateau de Langres, naquit une entreprise qui fut bien plus qu’une simple usine : un rêve des Lumières coulé dans le verre, une expérience audacieuse de libéralisme économique et une « machine de guerre » industrielle dirigée contre le plus puissant des monopoles royaux.1 La Manufacture des glaces de Rouelles, en Haute-Marne, eut une existence aussi brillante que brève. Elle servit de modèle vivant à la plus grande entreprise intellectuelle de son temps, l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert, connut un âge d’or fulgurant sous la direction d’un transfuge de son illustre concurrente, et s’effondra finalement, victime de ses propres contradictions et de la puissance du système qu’elle avait osé défier. Son histoire est celle d’une ambition démesurée, d’innovations remarquables et d’une chute spectaculaire, dont les échos se prolongèrent à travers la Révolution et jusqu’à sa disparition physique au siècle suivant.
Partie I : La genèse d'une « machine de guerre » (1759–1772)
L'histoire de la manufacture de Rouelles est avant tout celle d'une idée, une coalition d'intérêts et de philosophies unie contre un ennemi commun : le système colbertiste et son incarnation la plus parfaite, la Manufacture royale des glaces de miroirs de Saint-Gobain.
Les architectes de l'utopie
Le 9 janvier 1759, quatre hommes aux profils complémentaires s'associent pour fonder une entreprise audacieuse.3 Le premier, Claude-Étienne, baron de Marivetz, est un physicien et noble de Langres qui apporte l'assise foncière en offrant sa terre de Rouelles pour l'implantation.1 Le deuxième, Paul Bosc d'Antic, est le cerveau technique ; ce physicien, ancien directeur scientifique à Saint-Gobain, en a été renvoyé et nourrit un désir de revanche, armé de sa connaissance intime des secrets de fabrication.3 Le troisième, Antoine Allut, un riche homme d'affaires du Midi, fournit le nerf de la guerre, le capital, et installe son fils, Antoine le jeune, à la direction opérationnelle.3 Enfin, le quatrième, François Véron de Forbonnais, est l'idéologue du groupe ; cet économiste influent, fervent opposant au colbertisme, a déjà publié des mémoires virulents contre le monopole de Saint-Gobain.1
Cette alliance n'est pas purement commerciale. Elle est une croisade idéologique, soutenue discrètement par des figures du gouvernement gagnées aux idées libérales, comme les contrôleurs généraux Boulogne et Silhouette.1 Leur objectif est de prouver par l'exemple que l'initiative privée, la libre concurrence, peut se montrer plus efficace et plus innovante que le lourd système des privilèges d'État.
Un défi frontal à Saint-Gobain
L'ennemi désigné est un titan : la Manufacture royale des glaces de miroirs, fondée par Colbert en 1665, qui bénéficie d'un privilège exclusif renouvelé en 1757 pour la fabrication des grandes glaces coulées, un produit de luxe essentiel à l'architecture et à la décoration de l'époque.1 Dans un acte de désobéissance industrielle calculé, les fondateurs de Rouelles, bien que leurs lettres patentes ne les autorisent qu'à produire du « verre façon de Bohême », construisent immédiatement une immense halle de 150 pieds de long (environ 49 mètres) conçue spécifiquement pour le coulage des glaces, défiant ouvertement le monopole de leur rivale.1
Le choix du site de Rouelles révèle cependant une contradiction fondamentale qui pèsera sur tout son destin. L'isolement au milieu des forêts du plateau de Langres offrait un double avantage : une source quasi inépuisable de bois pour alimenter les fours et une discrétion bienvenue pour se protéger de l'espionnage industriel de Saint-Gobain.1 Mais ce secret avait un coût exorbitant. Rouelles était un véritable « trou », un cul-de-sac sans rivière navigable, sans canal et loin des grands axes routiers.2 Cette situation géographique désastreuse entraînait des frais de transport prohibitifs, tant pour l'acheminement des matières premières que pour l'expédition des fragiles et lourdes glaces vers les marchés de Dijon ou de Lyon. Cette faiblesse logistique, sous-estimée au départ par des fondateurs plus préoccupés par la production que par la commercialisation, s'avérera être le talon d'Achille de l'entreprise.1
L'Encyclopédie en action
Malgré ses difficultés, la manufacture de Rouelles acquiert une renommée immortelle en devenant un laboratoire à ciel ouvert pour l'Encyclopédie. Entre 1760 et 1765, le lieu devient un terrain d'étude pour le grand projet des Lumières.1 Antoine Allut le jeune, le directeur, rédige lui-même les descriptions techniques détaillées pour les articles « Verrerie » et « Glacerie ».1 Parallèlement, le célèbre dessinateur Louis-Jacques Goussier s'installe sur place pour croquer avec une précision inégalée les machines, les ateliers et les gestes des ouvriers.1 Les planches qui en résultent, publiées dans le Recueil de Planches, offrent un témoignage visuel exceptionnel de la haute technologie du XVIIIe siècle, figeant pour la postérité les processus de fabrication de Rouelles.2 Ironiquement, Denis Diderot, l'enfant du pays originaire de Langres, observait cette aventure avec un grand scepticisme et ne croyait guère à son avenir, une prémonition qui se révélera juste.1
Les premières fissures (1763–1771)
L'enthousiasme initial se heurte rapidement à la dure réalité. L'entreprise est structurellement fragile. Le capital de départ, 72 000 livres, est dérisoire face à la puissance financière de Saint-Gobain. Une tentative d'augmentation de capital de 360 000 livres en 1763 est un échec, forçant Allut père à y engager toute sa fortune personnelle.1 L'équipe fondatrice se délite : Forbonnais se retire en 1761, suivi par l'expert technique Bosc d'Antic en 1763, privant la manufacture de compétences et de soutiens essentiels.1
Plus grave encore, la qualité n'est pas au rendez-vous. Les premières glaces produites manquent de la « couleur blanche et cristalline » qui fait la réputation des produits de Saint-Gobain, ce qui les « discrédita singulièrement » sur le marché du luxe.1 La riposte de Saint-Gobain est foudroyante. La compagnie royale espionne sa concurrente, débauche certains de ses actionnaires et lance une guerre des prix sans merci, ouvrant des dépôts à Dijon et à Lyon pour y vendre ses propres glaces, de qualité supérieure, avec un rabais de 35 %.1 Rouelles tente de suivre en baissant ses prix de 30 à 50 %, mais cette stratégie est suicidaire.1 En 1767, Allut doit cesser ses paiements et arrêter temporairement la production.1
L'entreprise ne survit que grâce à un protecteur puissant et constant : les États de Bourgogne. Conscients de l'intérêt économique régional, ils lui accordent dès 1766 une subvention annuelle de 5 000 livres et ordonnent l'aménagement de la route d'Is-sur-Tille pour désenclaver le site.1 Ce soutien vital maintient la manufacture à flot et prépare le terrain pour une renaissance inespérée.
Partie II : l'âge d'or de Nicolas Saaz-Delahaye (1772–1778)
La période de 1772 à 1778 marque un tournant radical dans l'histoire de Rouelles. D'une entreprise au bord de la faillite, elle devient un modèle de réussite industrielle et de rentabilité. Ce redressement spectaculaire porte le nom d'un seul homme : Jean-Julien-Nicolas Saaz-Delahaye.
Un transfuge à la rescousse
En 1772, les dirigeants de Rouelles réalisent un coup de maître en recrutant Jean-Julien-Nicolas Saaz-Delahaye.1 Il n'est pas un simple technicien, mais un ancien directeur de la manufacture de Saint-Gobain, l'ennemi juré.1 Son arrivée est motivée par un ressentiment personnel envers son ancien employeur, qui n'avait pas su reconnaître ses talents à leur juste valeur.1 Il apporte avec lui non seulement une expertise technique, mais surtout une connaissance approfondie des processus, de l'organisation et des secrets de fabrication qui faisaient la supériorité de Saint-Gobain.
Sa mission, telle qu'il la décrira lui-même, est claire : « diriger et rétablir la fabrication et luy procurer le degré de perfection, notament pour la couleur blanche et cristalline qui jusqu’alors avoit manqué aux glaces de cette dernière manufacture et l’avait singulièrement discréditée ».1 L'arrivée de Saaz-Delahaye est le catalyseur qui va transformer le potentiel de Rouelles en succès commercial. Il ne vient pas seulement conseiller, mais bien "diriger". Il est l'homme qui détient le capital humain et le savoir-faire institutionnel qui manquaient cruellement. Il a probablement réformé toute la chaîne de production, depuis la purification rigoureuse des matières premières jusqu'à la gestion des fours et la formation des ouvriers, transplantant de fait l'excellence opérationnelle de Saint-Gobain au cœur de sa rivale.
Les années de prospérité (1772-1778)
L'effet Saaz-Delahaye est immédiat et spectaculaire. Les rapports de Bernard de Chanteau, l'inspecteur des États de Bourgogne, en témoignent avec éloquence. Dès la fin de 1772, il constate « le nombre prodigieux d’ouvriers » et « la grande quantité et la bonne qualité des glaces » produites.1 En juin 1773, il estime la main-d'œuvre à environ trois cents personnes, une concentration industrielle remarquable pour une zone rurale. Il note que la production est abondante, diversifiée, et que le magasin de Dijon est plein, alimentant de nombreuses expéditions.1
Les chiffres financiers confirment ce triomphe. Entre 1770 et juillet 1778, la manufacture produit pour 1 982 000 livres de glaces, générant un bénéfice stupéfiant de plus d'un million de livres.1 Cette performance, fruit du travail conjoint de Saaz-Delahaye, d'Antoine Allut et de leur collaborateur Jacques Maupetit, convainc les États de Bourgogne de renforcer leur soutien. En 1776, la subvention annuelle est plus que doublée, passant de 5 000 à 12 000 livres, une marque de confiance éclatante envers la nouvelle direction.1
La vie d'un directeur en Bourgogne
Les archives paroissiales permettent de dessiner un portrait plus intime de Saaz-Delahaye. Il n'est pas qu'un directeur de passage, il s'enracine à Rouelles. La croissance de la manufacture sous sa direction transforme le site en une véritable communauté. En 1776, un vicaire résident est nommé et des registres paroissiaux sont ouverts pour la première fois.1 C'est dans ces registres que l'on retrouve la trace du baptême de ses deux enfants nés à Rouelles : Louise-Justine-Sophie, le 3 mai 1776, et Richard-Firmin, le 12 avril 1778.1 Ces documents révèlent également que les marraines de ses enfants sont liées à Saint-Gobain, suggérant que Saaz-Delahaye s'y était probablement marié et y conservait des liens personnels, malgré la rupture professionnelle.1
Partie III : la chute et les vies posthumes (1778–1842)
L'âge d'or de Rouelles s'achève aussi brutalement qu'il avait commencé. La chute de la manufacture, suivie de sa lente agonie, illustre les fragilités internes de l'entreprise et les bouleversements d'une époque en pleine mutation.
La fin soudaine d'un succès (1778)
En juillet 1778, au sommet de sa rentabilité, la fabrication des glaces cesse net.1 La raison officielle invoquée est la « mésintelligence des chefs », une querelle entre les dirigeants qui aurait entraîné la suppression de la subvention vitale des États de Bourgogne.1 Cette explication masque probablement une réalité plus complexe. La prospérité soudaine et massive de l'entreprise a vraisemblablement exacerbé les tensions entre les deux principaux associés restants, Antoine Allut et le baron de Marivetz. Allut, qui avait géré l'entreprise au quotidien et y avait englouti sa fortune, et Marivetz, le noble propriétaire terrien qui avait également subi des pertes initiales, se sont sans doute affrontés sur la gestion de ces nouveaux profits.1 Cette paralysie interne, visible de leurs mécènes, a dû convaincre les États de Bourgogne de retirer leur soutien à une entreprise qui s'autodétruisait. Le succès même que Saaz-Delahaye avait bâti est devenu le catalyseur de la dispute fatale entre ses propriétaires.
Nicolas Saaz-Delahaye est la principale victime de cet effondrement. Manager de talent, il se retrouve sans emploi. Preuve de son attachement au site, il reste à Rouelles après la fermeture, espérant une reprise. Sa présence y est attestée jusqu'en 1792, et en 1788, il adresse encore une requête aux États pour tenter de monter une nouvelle activité sur place, une fabrique de savon noir.1
Rouelles dans la tourmente Révolutionnaire (1789-1798)
La Révolution française achève de sceller le destin de la première manufacture. Le baron de Marivetz, en tant que noble, est arrêté pendant la Terreur et guillotiné à Paris le 26 février 1794.3 Ses biens, y compris le site de Rouelles, sont confisqués et déclarés biens nationaux.1
Le 21 frimaire an III (11 décembre 1794), les possessions sont vendues aux enchères. Tandis que la veuve du baron rachète le château, les bâtiments de la manufacture, décrits dans les actes comme étant « dans le plus mauvais état » et bons pour la démolition, sont adjugés pour 10 500 livres.1 L'acquéreur principal est une figure dont le nom boucle une boucle historique remarquable : Abel-François-Nicolas Caroillon de Vandeul, époux de Marie-Angélique Diderot, la fille unique du philosophe.1 Ainsi, l'entreprise que Diderot avait observée avec méfiance tombait entre les mains de sa propre famille. Caroillon de Vandeul s'associe avec Jean Quilliard, un maître de forges, et Antoine Georgemel, un ancien employé de la manufacture, alliant ainsi capital, connaissance du terrain et expertise industrielle.1
Une seconde vie sous l'Empire (1798–1813)
Après avoir réglé les contentieux avec les héritiers Marivetz, les nouveaux propriétaires relancent l'activité en 1798.1 Caroillon de Vandeul, industriel pragmatique déjà actif dans la métallurgie et le textile, opère un virage stratégique.8 Il abandonne le marché prestigieux mais risqué des glaces de luxe pour réorienter la production vers des produits utilitaires, plus en phase avec l'économie post-révolutionnaire : les bouteilles et le verre à vitres.1
Cette nouvelle verrerie est une entreprise bien plus modeste. Une enquête industrielle de l'an X (1801-1802) mentionne un directeur nommé Cauzou, et en 1808 et 1812, l'usine emploie une cinquantaine d'ouvriers pour une production annuelle d'environ 65 000 francs.1 Si elle n'a plus le lustre de la glacerie, elle continue de faire vivre la petite communauté de Rouelles.
Le démantèlement final (1813–1842)
La mort de Caroillon de Vandeul en 1813 marque le début d'un long et inexorable déclin.1 La verrerie passe de main en main, vendue en 1820 par les héritiers Marivetz à Antoire-Sébastien Rivot, qui la cède en 1831 à Robert Bouilly et Robert Legrand. Ces derniers la confient en 1836 à un exploitant fermier, un certain Rousseau.1
L'aventure prend fin en 1840, lorsque l'entreprise, jugée non rentable, est mise en vente avec l'intention de la démolir.1 La destruction partielle des bâtiments est effective en 1842.1 La nouvelle révolution industrielle, celle du charbon, de la vapeur et des chemins de fer, a rendu la faiblesse originelle de Rouelles – son isolement – fatale. Alors que la Haute-Marne connaissait un essor métallurgique dans les vallées mieux desservies, Rouelles, à l'écart de tout, ne pouvait plus rivaliser.2 Le progrès qui avait inspiré sa création finit par la condamner.
Conclusion : l'héritage de Rouelles
L'épopée de la Manufacture des glaces de Rouelles est celle d'un échec commercial et d'une réussite idéologique. En tant qu'entreprise, elle fut une étoile filante, consumée par son emplacement malheureux, les conflits de ses promoteurs et la puissance écrasante du monopole qu'elle défiait. En tant que projet des Lumières, elle reste un jalon historique. Elle fut une tentative courageuse, bien que malheureuse, de matérialiser les théories économiques libérales et de briser les carcans du mercantilisme.
Son héritage le plus durable et le plus précieux réside dans les planches de l'Encyclopédie.1 Les gravures méticuleuses de Goussier, réalisées sur le vif, constituent une archive visuelle sans équivalent de la technologie de pointe du XVIIIe siècle. Elles sont le véritable miroir de l'ambition de Rouelles, un miroir qui, lui, n'a pas été brisé par le temps. Aujourd'hui, seuls quelques bâtiments restaurés dans le silence d'un village de Haute-Marne témoignent de cette aventure industrielle oubliée, une histoire de rêves utopiques, du génie d'un directeur visionnaire et des dures leçons de l'économie à l'aube des révolutions.1
Sources des citations
- La manufacture de Glaces de Rouelles (Haute-Marne) : un modèle pour l'Encyclopédie, consulté le juillet 11, 2025,
https://journals.openedition.org/rde/84
- La manufacture de Glaces de Rouelles | Couleur XVIIIe - Histoires-Galantes, consulté le juillet 11, 2025,
https://www.histoiresgalantes.fr/blog/2022/10/11/22627/
- NUMÉRO 34 - NOVEMBRE 2019 - Verre-Glass, consulté le juillet 11, 2025,
http://verre-glass.com/fichiers/EDV%2034-5-menil.pdf
- 1665 : Louis XIV fonde la Manufacture royale des glaces à miroirs à l'instigation de son ministre Colbert | Saint-Gobain Archives, consulté le juillet 11, 2025,
https://archives.saint-gobain.com/ressource/xviie/1665/1665-louis-xiv-fonde-la-manufacture-royale-des-glaces-miroirs-linstigation-de
- PATRIMOINE : La fabrication des glaces de France à la Manufacture royale de Saint-Gobain (02) - YouTube, consulté le juillet 11, 2025,
https://www.youtube.com/watch?v=ZRYEYthHOcU
- ENCYCLOPÉDIE MÉTHODIQUE PANCKOUCKE.- - Verrerie. Planches.- - Livre Rare Book, consulté le juillet 11, 2025,
https://www.livre-rare-book.com/book/5472521/ORD-11793
- La manufacture de Glaces de Rouelles (Haute-Marne) : un modèle pour l'Encyclopédie, consulté le juillet 11, 2025,
https://journals.openedition.org/rde/84?lang=en
- Abel François Nicolas Caroillon de Vandeul - Wikipédia, consulté le juillet 11, 2025,
https://fr.wikipedia.org/wiki/Abel_Fran%C3%A7ois_Nicolas_Caroillon_de_Vandeul
- Savignac -Lédrier et les forges du Périgord, consulté le juillet 11, 2025,
https://www.berose.fr/IMG/pdf/une_symbiose_entre_metallurgie_et_agriculture.pdf
- La Haute-Marne, dynamiques industrielles et industrie en milieu rural | Cairn.info, consulté le juillet 11, 2025,
https://shs.cairn.info/revue-pour-2016-1-page-135?lang=fr
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Nicolas Saaz Delahaye (1724 - 1801)
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Manufacture des glaces de Rouelle - Carte de Cassini (vers 1760)